OLIMPIADA DE LIMBA FRANCEZĂ
CLASA a X-a normal
SUBIECTE
I. Lisez attentivement le document ci-dessous:
Pourquoi on prend des risques?
Quand prend-on des risques?
Dès qu’on met le nez dehors! En prendre, c’est s’exposer à un danger éventuel.[…] Le danger est partout. Traverser une rue devant chez soi chaque matin, c’est déjà courir un risque. Même si on ne s’en rend pas forcément compte (et heureusement!), la vie quotidienne est pleine de périls. Mais il arrive qu’on prenne des risques en le sachant, dans un but précis. Répondre à une question en cours, c’est courir le risque de se tromper, par exemple. Mais on le fait dans l’espoir de réussir. Prendre des risques est nécessaire pour découvrir de nouvelles choses.
Prendre des risques, est-ce raisonnable?
En quête de sensations fortes, on prend parfois des risques inutiles, en roulant trop vite sur la route ou en consommant des drogues. Quitte à le regretter toute sa vie! À l’inverse, un risque raisonnable est pris en connaissance de cause. C’est plutôt une contrainte qu’on accepte à contre cœur et qu’on essaie de limiter. L’importance des risques qu’on est prêt à prendre dépend de l’importance du bénéfice qu’on espère obtenir.[…]Dans certains cas extrêmes, il est même nécessaire de prendre un risque élevé pour désamorcer un autre danger, plus terrible encore. Pour lutter contre une maladie grave, par exemple, une opération chirurgicale dangereuse est parfois nécessaire. Quand on sait que, si rien n’est fait, le patient va mourir, tous les risques méritent d’être pris.
Comment limiter les risques qu’on prend?
La meilleure manière de maîtriser les risques, c’est la connaissance. Bien se connaître soi-même, d’abord, permet de savoir quels risques on peut prendre. Pour progresser en ski, par exemple, il faut accepter le risque de tomber. Mais un débutant qui connaît son niveau évitera de s’élancer à toute vitesse! Le risque n’est pas incompatible avec la prudence. Au contraire. Au moment d’envoyer des hommes sur la Lune, les scientifiques savaient combien la mission était risquée. Mais tout a été fait pour anticiper les dangers, à l’aide d’une multitude de calculs. Grâce à ces précautions, les astronautes sont revenus sains et saufs sur Terre.
Le risque zéro n’existe pas!
Texte: Luc Ijaddandène, Okapi, 1er décembre 2011
COMPRÉHENSION / 25p.
- Ce texte veut 5p
€ prévenir les lecteurs sur les risques possibles.
€ dire aux lecteurs de renoncer aux risques.
€ informer les lecteurs sur l’existence des risques.
- Qu’est-ce que, selon l’auteur du texte: 6p
- un risque raisonnable
- un risque inutile.
- Cochez la bonne case et justifiez votre réponse en citant une phrase ou une expression du texte: 9p
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JUSTIFICATION
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VRAI
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FAUX
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On élimine le risque si on le connaît d’avance.
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Prendre des risques conduit au progrès.
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Seuls les imprudents prennent des risques.
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4. Trouvez, dans le texte, un exemple de risque nécessaire. 5p
II. STRUCTURES LINGUISTIQUES / 25p.
- Réécrivez, au passé, le témoignage de Mireille, 14 ans: 8p
Je ne suis pas vraiment une aventurière. Une fois j’ai essayé d’allumer une cigarette, mais j’ai eu mal et j’y ai renoncé tout de suite. Bien sûr, je suis obligée de prendre des risques dans la vie, mais quand c’est possible, je préfère les éviter. On ne me verra pas jouer au casino par exemple.
- Donnez trois conseils à quelqu’un qui a peur de s’assumer des risques. Exprimez-les de manières différentes. 6p
- a. Trouvez les adjectifs qui correspondent aux mots suivants: peur, péril, risque et mettez-les dans des phrases. 6p
b. Faites des phrases avec les expressions: faire du cinéma, c’est du chinois. 5p
III. PRODUCTION ÉCRITE / 50p.
«L’adolescence: l’âge du risque». Imaginez une histoire pour illustrer cette affirmation. (150 - 170 mots)
NOTĂ : Toate subiectele sunt obligatorii.
Timp de lucru: 3 ore
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SUBIECTE
II. Lisez attentivement le document ci-dessous:
Les Pigeons
Ils envahissent les places de certaines villes, collent les passants et agacent tous ceux qui ont reçu un jour une de leurs fientes sur la tête! Mais pourquoi les pigeons sont‑ils aussi nombreux? Une étude scientifique vient de révéler qu’ils auraient un étonnant pouvoir…
Un peu pataud, se dandinant d’une patte sur l’autre, le pigeon n’a pas vraiment l’air malin. Et pourtant il est doué! En effet, il est doté d’un étonnant pouvoir: il est capable de reconnaître les gens qui l’aiment.
Quel est le secret du pigeon ?
C’est ce que viennent de découvrir deux chercheurs français. En menant des expériences au Jardin des plantes de Paris, ils ont démontré que les pigeons pouvaient reconnaître les visages: ils peuvent distinguer ceux qui leur donnent à manger et ceux qui ne les aiment pas, ceux qui les poursuivent dès qu’ils se posent sur le sol. C’est ainsi qu’ils volent vers cette petite dame qui, tous les jours, vient au parc avec des morceaux de pain, et qu’ils évitent ce jeune homme qui les menace dès qu’ils approchent.
Pourquoi sont‑ils aussi nombreux?
Question nourriture, les pigeons ont un autre atout. Ils mangent surtout des graines, mais depuis qu’ils vivent en ville, ils se sont adaptés: déchets alimentaires, pain, biscuits, plantes… tout y passe! Il ne leur est donc pas difficile de trouver de quoi se nourrir dans toutes nos poubelles, restaurants, marchés ou jardins publics.
De plus, les pigeons sont les seuls oiseaux à se reproduire toute l’année. Résultat: cette espèce est loin d’être menacée! En ville, ils disposent d’une foule d’endroits où faire leurs nids: ils s’installent dans les trous et recoins des maisons, des gares, des couloirs de métro, sur le bord des fenêtres, sous les toits.
En somme, pour les pigeons, la ville, avec toutes ses cachettes et ses déchets, c’est le paradis! Cela n’est pas pour plaire aux citadins, qui râlent souvent contre ces animaux parce qu’ils sont sales, font leurs besoins sur les bâtiments, sur les statues, et transportent des maladies. Certains les surnomment même « les rats volants ».
Cécile Couturier, Okapi, 31 août 2011
COMPRÉHENSION / 25p.
- Ce texte veut: 5p
a. avertir les lecteurs sur les maladies des pigeons.
b. dire aux lecteurs que les pigeons sont dangereux.
c. informer les lecteurs sur l’existence d’un grand nombre de pigeons dans certaines villes.
- Qu’est-ce que, selon l’auteur du texte: 6p
- le secret des pigeons
- le paradis des pigeons.
- Cochez la bonne case et justifiez votre réponse en citant une phrase ou une expression du texte: 9p
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JUSTIFICATION
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VRAI
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FAUX
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Les pigeons ont une très bonne mémoire des figures humaines.
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La nourriture des pigeons est composée seulement de graines sucrées, parce qu’ils sont très prétentieux.
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L’espèce des pigeons est en train de disparaître.
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4. Trouvez, dans le texte, une situation pratique passée entre les pigeons et les humains. 5p
IV. STRUCTURES LINGUISTIQUES / 25p.
- Réécrivez, au passé, le passage ci-dessous: 8p
« En somme, pour les pigeons, la ville, avec toutes ses cachettes et ses déchets, c’est le paradis! Cela n’est pas pour plaire aux citadins, qui râlent souvent contre ces animaux parce qu’ils sont sales, font leurs besoins sur les bâtiments, sur les statues, et transportent des maladies. Certains les surnomment même « les rats volants ».
- Donnez trois raisons pour quelqu’un qui veut élever des pigeons. Justifiez votre réponse. 6p
- a. Trouvez les adjectifs qui correspondent aux mots suivants: pouvoir, étude, déchets et mettez-les dans des phrases. 6p
b. Faites des phrases avec les expressions: avoir l’air malin, tout y passe.
5p
V. PRODUCTION ÉCRITE / 50p.
« La véritable amitié donne la force de s’aventurer, de penser loin, de s’engager ». Illustrez cette affirmation par des exemples tirés de votre expérience personnelle. (150 - 170 mots)
NOTĂ : Toate subiectele sunt obligatorii.
Timp de lucru: 3 ore
Cl. a X-a 1-3 ore
Subiectul 1 (40 puncte)
Lisez attentivement le texte :
Chaque jour, dès que j’ai un moment de libre, je me faufile jusqu’au fond du hangar, et là, caché derrière le tombereau et couché en travers de la botte de paille, je m’applique à faire les mouvements. Je les décompose avec lenteur en comptant à voix basse, veille à bien les coordonner, inspire en tenant les lèvres serrées et m’attache a garder une respiration régulière. […]
La pluie cesse enfin. C’est un dimanche gris et froid. Mais je sais que, si je ne profite pas de cette journée, ma tentative sera repoussée à l’été prochain. Je décide donc que ce sera le grand jour. J’emporte dans une feuille de journal le maillot que j’ai emprunté, un morceau de pain et un fromage.
Quand j’arrive, je suis tout surpris de trouver l’endroit désert. De loin, je peux voir que la rivière a montée, et le fracas provenant du barrage suscite en moi une angoisse qui me fait regretter d’être venu.
J’attache ma Loulette à un piquet. Je prends mon élan, cours, mais quelque chose de plus fort que ma résolution me retient et me plaque à terre. Je reste là de longues minutes, accablé, anéanti. Puis je me traite de lâche, prends conscience que je ne serai jamais un homme. Enfin, je revois leurs sourires quand ils étaient tous à se moquer de moi, parce que je suis le seul de la classe à ne pas savoir nager.
Je prends une profonde inspiration, m’élance, cours, ferme les yeux, me jette en avant. Etonné d’être encore en vie, je suffoque, me débats, coule, reviens à la surface, cherche à saisir des branches. L’eau glacée a penetré à l’intérieur de mes oreilles, le vacarme est assourdissant, et cependant, j’entends ma Loulette japper, geindre, pleurer. Puis, je la vois se débattre, casser la ficelle, se jeter à l’eau. Ma panique est à son comble. Je suis hors de moi ; je crie, l’appelle, veux lui porter secours, et je me rends compte soudain que le courant m’entraîne, qu’il va s’accélérant, que je suis sur le point d’être entraîné par cette masse d’eau qui franchit le barrage en grondant. En un sursaut de volonte, je me reprends. Et, dominant mon affolement, refusant de mourir, je me bats, lutte, effectue sans trop de hâte mes mouvements, nage avec décision et vigueur.
Le soir, durant le repas, j’ai du mal à contenir mon allégresse. […] Mais à ma joie se mêle de la colère. Car ils continuent de me parler comme avant. Ils n’ont pas perçu que je suis devenu quelqu’un d’autre.
(Charles Juliet – Dimanche d’été, Le Monde, 23-24 mars 1986)
tombereau = voiture de charge ;
ma Loulette = ma chienne ;
japper = aboyer ;
geindre = gémir.
1.1 Compréhension (10 puncte)
C1 (2,5 p) – Pour quelles raisons éprouve-t-il de « l’angoisse » lorsqu’il arrive près de la rivière ?
C2 (2,5 p) – Qu’est-ce qui l’incite essentiellement à réagir et à se mettre à l’eau ?
C3 (2,5 p) – Finalement, quel est l’événement qui amène le garcon à nager ?
C4 (2,5 p) – Pourquoi éprouve-t-il à la fois de la joie et de la colère à son retour chez lui ?
1.2 Vocabulaire (10 puncte)
V1 (2,5 p) – Trouvez le verbe qui correspond au nom « tentative » ; employez ce verbe avec deux sens différents.
V2 (2,5 p) – Donnez le contraire des adjectifs suivants : désert, serré, attaché, glacé, bas.
V3 (2,5 p) – Expliquez la proposition suivante : « J’ai du mal à contenir une allégresse. »
V4 (2,5 p) – « Le fracas provenant du barrage » : cherchez dans la suite du texte un nom synonyme de « fracas » ; employez-le dans une phrase de votre composition.
1.3 Grammaire (10 puncte)
G1 (2,5 p) – Mettez la phrase : « Si je ne profite pas de cette journée, ma tentative sera repoussée l’été prochain » aux autres règles du « si » conditionnel.
G2 (2,5 p) – « Mais je sais que… ma tentative sera repoussée » ; « Je décide donc que ce sera le dernier jour » : mettez au passé les verbes des propositions principales et faites les modifications nécessaires.
G3 (2,5 p)
a) « Dès que j’ai un moment de libre » : remplacez « des que » par un autre articulateur qui respecte la nuance temporelle.
b) Mettez les verbes « se jeter » et « appeler » au passé composé et au futur simple de l’indicatif (IIIe personne du pluriel).
G4 (2,5 p)
a) Relevez dans le 5e paragraphe une subordonné infinitive de votre choix.
b) « Une angoisse qui me fait regretter d’être venu » : indiquez le temps et le mode du verbe soulignée.
1.4 Mettez en roumain les phrases soulignées.
Subiectul 2 (50 puncte)
Comme l’auteur du texte, vous avez du surmonter une épreuve dans un domaine particulier. Qu’il s’agisse de sport, de bricolage, de cuisine ou de tout autre chose, vous avez, fait une tentative pour réussir. Racontez.
COLEGIUL NAŢIONAL „SIMION BĂRNUŢIU”
ŞIMLEU SILVANIEI, SĂLAJ
OLIMPIADA DE LIMBA FRANCEZĂ
Faza locală- ianuarie 2012
CLASA a X-a (1 -3 ore)
SUBIECTE
SUBIECTUL I (40 PUNCTE)
Lisez attentivement le texte ci-dessous:
Quand j’étais petite, j’habitais dans un petit, petit, petit village en Normandie. Il y avait environ 300 habitants.
Mes voisins de droite étaient des gens très catholiques. Mes parents n’allaient jamais à la messe, par conséquent, ils ne nous invitaient jamais chez eux.
Mes voisins de gauche étaient des Parisiens. Par conséquent, nous ne les invitions jamais chez nous.
Sur la place, il y avait l’église où je ne me rappelle pas être entrée, mon école, la maison du maire qui était cachée derrière un grand mur et la maison du professeur qui était en fait au-dessus de l’école. Parfois notre professeur, monsieur Norbert, nous donnait un exercice de mathématiques très compliqué, il disparaissait et il revenait avec un café. Mais il ne fumait pas dans la salle de classe, non. Il attendait la récréation et il fumait dans la cour de l’école.
Dans mon village, il y avait une rue avec des trottoirs. Elle s’appelait « rue grande » et il y avait un arrêt de bus pour aller à la ville d’à côté, à trente minutes. Le bus passait une fois le matin et une fois l’après-midi, mais il y avait souvent des adolescents qui attendaient là toute la journée, avec un air cool.
Dans la rue, il y avait « chez nénette ». C’était un bar avec un restaurant pour les routiers le midi. Nénette, minuscule entre les gros routiers, servait les plats avec une cigarette à la bouche. C’était pas grave, parce que tous les hommes fumaient dans sa cantine et on ne pouvait pas voir la couleur de la tapisserie. De l’autre côté du bar-restaurant, Nénette avait une petite épicerie. On devait vite dire ce dont on avait besoin parce que Nénette n’avait jamais le temps et elle faisait un peu peur avec toutes ses rides.
(Je parle de mon enfance – culturefrancaise.over-blog.com)
I.1.Compréhension (10 points)
C1. (2,50 p.) Quelles sont les raisons pour lesquelles la famille de l’enfant n’a pas de relations amicales avec ses voisins?
C2. (2,50 p.) Pourquoi disparaissait le professeur Norbert?
C3. (2,50 p.) Quelle était l’activité de Nénette ?
C4. (2,50 p.) Quelle est la réaction de l’enfant concernant l’aspect physique de Nénette ? Pourquoi ?
I.2..Traduisez en roumain le passage souligné. (10 p.)
I.3. Vocabulaire (10 points)
V1. (2,50 p.) Donnez un synonyme des mots : se rappeler ;professeur. Utilisez-les dans des phrases de votre choix.
V2. (2,50 p.) Trouvez deux homonymes pour le mot mes que vous utiliserez après dans des phrases de votre choix.
V3. (2,50 p.) Donnez quatre mots de la famille du verbe servir.
V4. (2,50 p.) Donnez les antonymes des mots : vite ; derrière. Utilisez-les dans des phrases de votre choix.
I. 4. Grammaire (10 points)
G1. (2,50 p.) Identifiez le mode et le temps des verbes suivants et expliquez son emploi : « j’étais, j’habitais, mes parents n’allaient jamais, nous les invitions »
G2. (2,50 p.) « Nénette n’avait jamais le temps» Mettez la construction à la forme affirmative .
G3. (2,50 p.) Mettez le verbe « inviter » au passé composé et faites les transformations nécessaires : « Par conséquent, nous ne les invitions jamais chez nous »
G4. (2,50 p.) Mettez la phrase suivante à la forme passive:
« Nénette servait les plats avec une cigarette à la bouche. »
SUBIECTUL II (50 PUNCTE)
Rédigez une lettre à un ami pour lui racontez un fait extraordinaire qui s’est passé dans votre ville. (15 à 20 lignes)
NOTĂ: Ambele subiecte sunt obligatorii.
Timp de lucru: 3 ore.
Se acordă 10 puncte din oficiu.
Camelia Sârbe, coordinatrice du projet
Camelia Sârbe, coordinatrice du projet
